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3 mars 2008 1 03 /03 /mars /2008 14:58
URBANIA
VAL DE MARNE
RAPPORT DE GESTION 2007
Résidence « Bry Beau Site »
181 boulevard Pasteur
BRY sur Marne
 
DUPLICATA REPRODUIT
 
 
CNAB
URBANIA VAL DE MARNE
 
Mesdames, Mesdemoiselles, Messieurs les copropriétaires
 
En ce début d’année, URBANIA, ainsi que toute l’équipe de gestion de votre résidence a souhaité vous
adresser un rapport de gestion complet définissant notre action depuis notre prise de mandat le 22 mai 2007.
 
Vous trouverez donc- poste par poste- le détail des problèmes identifiées ce jour, l’avancée de leur
 traitement ainsi que les dossiers restant encore à traiter.
 
                                                                                  URBANIA Val de Marne
                                                                                  J.WILLAERT
 
Transmission de votre dossier résidence TRANSIM 93 / URBANIA
 
Lors d’une circulaire précédente, nous vous avons exposé les difficultés rencontrées dans la transmission des documents nécessaires à la gestion de votre résidence.
La rétention d’information de votre ancien syndic nous a conduit à demander à Maître PEIGNE notre avocate, d’ouvrir une procédure en référé pour non présentation de comptabilité.
A ce jour, nous avons pu enfin être reçu par TRANSIM 93 le 16 janvier 2008. Nous avons préalablement télécopié à l’agence TRANSIM la liste des documents manquants à notre gestion. La Direction s’est étonnée de notre demande mais n’y a toujours pas répondu à ce jour.
 
Quels sont les documents principaux manquants ?
 
Nous ne disposons pas d’une balance des comptes copropriétaires au 22 mai 2007 ce qui a trois incidences :
-     Nous ne pouvons pas présenter de charges historiquement juste à chacun de vous.
-     Nous émettons des réserves sur les comptes lors des ventes d’appartement.
-     Nous ne pouvons ouvrir de procédures de recouvrement pour charges impayées avant le 22 mai 2007.
 
Nous ne disposons pas des index de vos compteurs d’eau au relevé 2006-2007 ce qui ne permet pas l’imputation individuelle des charges d’eau qui restent pour l’instant financées par la copropriété. L’incidence est lourde car le montant du compte Véolia est de € 55.644,78 que nous ne pouvons vous imputer en partie.
 
Nous ne disposons pas également du détail des sommes que vous avez versées au titre de la constitution du   fonds de roulement.
 
Nous n’avons aucun document au titre des écritures comptables de TRANSIM ainsi que des règlement ou    rejets de règlement de certaines factures. Ceci ne nous permet également pas de pouvoir justifier du   financement de certaines opérations via le budget de l’immeuble et par delà évaluer du bien fondé de   l’ouverture d’une procédure.
 
En outre, nous ne disposons d’aucun dossier contentieux ou procédural.
En général et afin de ne pas alourdir ce rapport, le fait de ne pas pouvoir être en possession de ces documents (liste de 4 pages) ne nous permet pas de pouvoir mandater un vérificateur comptable extérieur comme nous l’avions souhaité lors de la dernière assemblée générale.
 
CNAB
URBANIA   VAL DE MARNE
Comptabilité
 
Lors de l’assemblée générale du 22 mai 2007, nous vous avons expliqué que notre action nous conduirait à apurer les dettes de la résidence en négociant dans la mesure du possible, des moratoires de paiement avec les entreprises intervenantes.
La tâche a été d’autant plus difficile qui nous était impossible de vérifier l’étendue des impayés mais surtout de leur justification, ne disposant pas de comptabilité fiable en reprise.
 
Voici pour les plus grands comptes ce que nous avons trouvé et négocié.
 
SALAIRES des EMPLOYES
Contrairement à l’information qui a pu circuler dans la résidence à une époque, les salariés ont toujours été payés. N’ayant pu reconstituer leurs dossiers sur la base des archives inexistantes de TRANSIM, nous avons donc fonctionné grâce à l’honnêteté des déclarations des employés et des acomptes de la quasi totalités de leurs salaires à quelques euro près. A ce jour, tout est rentré dans l’ordre.
 
CHARGES sur SALAIRES (URSSAF, ASSEDIC, CRIP, GARP…)
Les déclarations n’ayant précédemment jamais été réalisées, nous avons du reconstituer la totalité des appels. Nous avons également négocié la remise gracieuse des pénalités de retard dues à cette non déclaration et paiement ce que nous avons obtenu dans la majorité des cas.
A ce jour, les cotisations sociales sont déclarées, à jour et payées.
 
EAU
Comme écrit précédemment, nous n’avons pu imputer les charges d’eau à ce jour à chaque copropriétaire.    Nous avons du faire face à un problème double : régler le retard de paiement et financer les factures actuelles    le tout sans pouvoir disposer de rentrées.
Nous avons trouvé une position négative de €. 23.316,54 €.
A ce jour, une disposons d’un moratoire de paiement et la position négative est de € 7.000,00
 
EDF
Nous avons trouvé une position négative de € 4.073,29
A ce jour, le compte est équilibré.
 
MISTRAL (ascenseurs et portes parking)
Nous avons trouvé une position négative de € 15.160,38
A ce jour, et compte-tenu des facturations de l’année, il reste une position négative négociée de € 5.053,46
 
GAZ DE FRANCE
Nous touchons là au plus gros des dossiers que nous avons découverts.
Nous avons trouvé une position négative de € 150.132,87
Il était donc facile de vous demander un appel exceptionnel du montant dû et d’effacer le problème.
Nous avons donc contacté le service contentieux de Gaz de France afin de nous faire confirmer la position de notre compte dans leurs livres.
Après négociation, et sur la base de la surface financière du groupe URBANIA, nous avons négocié un moratoire de paiement de cette somme sur 12 mois soit € 12.511,07 sans oublier que nous allions devoir payer nos consommations de gaz dès la remise en fonctionnement de la chaudière.
Le moratoire est tenu et nous en avons déjà réglé les 7/12ème. Les factures actuelles sont toutes payées.     Aucun appel de fonds exceptionnel ne vous a été réclamé.
 
CNAB URBANIA
VAL DE MARNE
LES COPROPRIETAIRES
Tantièmes :
De nombreux problèmes sont apparus depuis la reprise de la résidence.
En effet, n’ayant aucun listing nous sommes partis de l’état descriptif de division du règlement de copropriété. Celui-ci est faux dans la répartition des tantièmes pour de nombreux lots. Nous avons donc demandé la copie    de la matrice cadastrale de l’immeuble. (Nous remercions d’ailleurs un des copropriétaires de la résidence d’en avoir fait de même pour nous prêter main-forte).
Le travail de modification est en cours et tout reviendra dans l’ordre pour les appels de fonds exigibles au 01 avril 2008.
 
Charges :
Comme vous l’avez lu, nous n’avons pu obtenir la balance des comptes copropriétaires au 22 mai 2007.
Cependant après l’exigibilité du premier renvoi de fond demandé, 93 copropriétaires n’ont pas réglé dans les délais. Nous avons du procéder à la relance de tous. Ceci représente non seulement un lourd travail de gestion mais également un coût pour la copropriété. Depuis lors et après un second appel, nous avons du encore   relancer de nombreux copropriétaires. Aujourd’hui 35 d’entre vous ont reçu une mise en demeure pour non paiement de charges. L’incidence sur la copropriété est important car ce sont près de € 65.000,00 qui sont immobilisés et qui ne peuvent être utilisés à redresser la situation.
 
Problèmes d’assurance et de dégâts :
Tous les dossiers d’assurance ont été traités mais il subsiste toujours quelques problèmes notamment liés au    fait que certaines d’entre vous subissent des dégâts qui réclament une intervention lourde au niveau de la toiture voir du ravalement. Pour tous les rendez-vous les plus lourd, nous nous sommes déplacés pour prendre la mesure du soucis.
 
Relationnel :
Nous vous rappelons que le conseil syndical est la « courroie de distribution » entre vous et le syndic. En cas de demande spéciale, n’hésitez pas à leur en parler.
 
LE CONSEIL SYNDICAL
Nous avons commencé à travailler avec le conseil dès octobre 2006.
Depuis la nomination d’URBANIA, nous nous sommes réuni tous les quinze jours pendant 2 à 4 heures sauf impondérables.
 
Il nous a été reproché de nous réunir en journée.
Tout syndic facture les rendez vous de conseil syndical.
Dans notre contrat, nous disposons de deux tarifs (l’un en journée, l’autre en soirée). Il nous a semblé inutile au vu de la somme de travail à réaliser, de nous voir systématiquement en soirée d’autant que les plannings de chacun ne le permettent pas aussi souvent.
 
Nous avons donc décidé en cette première année de gestion de ne facturer aucun rendez vous de conseil   syndical et de nous voir aussi souvent qu’il était nécessaire afin d’assurer une excellente gestion de la    résidence à condition qu’aucun rendez vous ne soit le soir. Vous aurez le loisir de pouvoir le vérifier lors de la remise des comptes de la résidence.
 
CNAB
URBANIA  VAL DE MARNE
 
Nous avons également décidé ensemble de chaque dépense dans le soucis de préserver le budget de chacun     des copropriétaires et aucune dépense superflue n’a été engagée. Aucune dépense n’a d’ailleurs été engagée   sans l’accord du conseil syndical.
 
LES GRANDS DOSSIERS REGLES
 
-    Procédure SOVATRA
Nous avons été informé par huissier le 6 septembre 2007 d’une procédure contre la résidence.
Nous avons contacté l’avocat de la partie adverse le même jour afin de connaître le dossier qui ne nous avait   pas été transmis.
Le 18 septembre 2007, l’avocat de la partie adverse nous a très cordialement fait copie de la totalité du dossier. Un report d’audience a été demandé au 19 octobre 2007.
Après avoir informé le conseil syndical, il a été décidé de régler le reliquat du chantier à la société SOVATRA pour un montant de € 2.300,00
Le 11 octobre 2007, nous avons reçu un courrier de l’avocat confirmant la réception du règlement et de l’abandon des poursuites.
Afin d’apporter un éclaircissement sur les rumeurs concernant la forte implication d’un membre du conseil syndical dans ce dossier, nous tenons à confirmer que le dossier a été réglé par URBANIA et n’a réclamé que deux appels téléphoniques et une télécopie ce qui est– toute proportion gardée – fort peu.
Le membre du conseil syndical dont il est question a réclamé le droit de pouvoir lui-même porter le chèque à l’étude de l’avocat.
 
-    Procédure CGV
Ce dossier dont la tâche semblait énorme se résume hélas à une simple constatation de quelques instants.   Malgré les demandes répétées du conseil syndical à TRANSIM, celui-ci a réglé la majeur partie du litige en payant la société des sommes demandées soit € 18.911,00 sur € 23.552,20.
Attache prise auprès de notre avocat, il est inutile, voire dangereux e se lancer dans une procédure ou nous ne devons plus que la TVA du dossier.
La somme a donc été versée au crédit du compte CARPA de Me PEIGNE pour régler cette affaire.
 
LES GRANDS DOSSIERS EN COURS
 
-     Dossier de procédure TRANSIM
-     Mise à jour du règlement de copropriété suite au travail de DEFIM
-     Etude des contrats de travail des employés de la résidence
-     Mise à jour des adresses des résidents selon les obligations postales. 
-     Mise en chantier du carnet technique de chaque immeuble
-     Evaluation des contrats de la résidence avant la date de résiliation.
-     Etude générale de rénovation des toitures terrasses anciennes
-     Etude générale du ravalement des façades des immeubles
-    Chaufferie : des rendez vous ont été tenus avec le conseil syndical et l’entreprise assurant l’entretien. Des solutions techniques d’amélioration de la gestion de la température sont en cours d’étude.
 
CNAB
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2 mars 2008 7 02 /03 /mars /2008 22:57
 
Echelle des mesures pour évaluer la nocivité en matière de bruit.

 

 
Mais l’oreille humaine a une sensibilité différente selon les fréquences. C’est pourquoi, en matière de nuisances sonores, on mesure le bruit en décibels A-db (A). cette unité de mesure « corrigée » traduit la sensibilité accrue de l’oreille humaine aux sons médium et aigus. Elle exprime la sensation auditive que provoquent les sons gênants ou nocifs pour l’homme. 
1.       0 db (A) seuil d’audibilité 
2.       10-15 db (A) très calme (un vent léger) 
3.       20-35 db (A) calme (conversation à voix basse à 1.50 m) 
4.       40-45 db (A) assez calme (ambiance de bureau tranquille) 
5.       50-60 db (A) bruit courant (conversation) 
6.       65-80 db (A) bruyant mais encore supportable (circulation routière importante) 
7.       85-95 db (A) bruit pénible, avec danger pour l’audition (aboiements très sonores) 
8.       100-110 db (A) bruit difficilement supportable (intérieure d’une discothèque) 
9.       120 db (A) seuil de la douleur (avion au décollage).
Le niveau de bruit s’exprime en décibels. (db) 
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21 février 2008 4 21 /02 /février /2008 22:20
La concertation

La forte élévation du niveau moyen d’éducation, l’influence des médias, la transformation des mentalités et des comportements imposent de se soucier d’organiser la participation des personnes et des groupes à la gestion et l’évolution de la vie de leur quartier, de leur commune et plus généralement de toute structure locale de proximité.

C’est une exigence de citoyenneté dans une démocratie moderne. C’est une condition d’efficacité de la gestion locale confrontée à la complexité des problèmes nouveaux de société qui requièrent aujourd’hui un sérieux partenariat entre la population avec ses associations, et la collectivité territoriale concernée.

Cf. ci-dessous la Charte de la concertation adoptée en 1996 par le ministère de l'Equipement.

- Charte de la concertation en matière d'environnement du 5 juillet 1996 du Ministère de l'Equipement
Télécharger le document (version pdf 3p 68 ko)

Préambule

Sur tous les projets qui touchent à l'urbanisme, à l'aménagement du territoire, à l'équipement des collectivités, à la préservation de l'environnement, la concertation est devenue nécessaire. Le besoin de concertation est un phénomène de société. La concertation constitue un enrichissement de la démocratie représentative par une démocratie plus participative et induit un changement des mentalités et des comportements. Ce changement de comportement découle également d'une prise de conscience des pouvoirs publics et des maîtres d'ouvrage.

La concertation proposée par la présente charte, doit permettre d'améliorer significativement la participation du public à la conception des projets, y compris lorsque celle-ci est déjà prescrite par des dispositions législatives et réglementaires. Ainsi, avant même la mise en oeuvre des obligations réglementaires, le champ demeure libre pour initier une concertation qui procède d'une volonté délibérée des divers partenaires.

La présente charte vise à exposer des règles simples pour réussir la concertation. Les principes et recommandations énoncés ci-après ne sauraient se substituer au respect des procédures existantes notamment, à l'enquête régie par la loi du 12 juillet 1983, mais visent à en faciliter la mise en oeuvre.

La charte de la concertation a pour objectif :
- de promouvoir la participation des citoyens aux projets qui les concernent, par l'information la plus complète, l'écoute de leurs attentes ou de leurs craintes, l'échange et le débat ;
- d'améliorer le contenu des projets et faciliter leur réalisation en y associant, dès l'origine, aux cotés du maître d'ouvrage, le plus grand nombre possible d'acteurs concernés ;
- de fournir aux différents partenaires les éléments d'un code de bonne conduite définissant l'esprit qui doit animer la concertation et les conditions nécessaires à son bon déroulement.

Les signataires de la présente charte s'engagent à en respecter les principes dans un esprit d'ouverture et d'écoute.


Article 1 - La concertation commence à l'amont du projet.
La démarche de concertation doit commencer lorsqu'un projet est envisagé, sans qu'une décision formalisée soit nécessaire. Si un projet s'inscrit dans une logique d'ensemble, définie dans un schéma, un plan ou un programme, ce document doit également faire l'objet d'une concertation. Toutefois cette dernière ne saurait limiter la concertation menée autour d'un projet ultérieur à un simple examen de ses modalités d'exécution.

Article 2 - La concertation est aussi large que possible.
La concertation doit associer tous ceux qui veulent y participer, notamment élus, associations et particuliers... Elle ne se limite pas à la population riveraine du projet, mais s'étend à l'ensemble des populations concernées par ses impacts. Elle doit être menée de façon à susciter la participation la plus active possible.

Article 3 - La concertation est mise en oeuvre par les pouvoirs publics.
La mise en oeuvre de la concertation procède d'une volonté politique. Il incombe donc aux pouvoirs publics (élus, administrations) de veiller à sa mise en oeuvre. Lorsque le maître d'ouvrage n'est pas une autorité publique, il lui faut alors tenir l'autorité compétente informée de son projet et définir avec celle-ci les modalités de la concertation.

Article 4 - La concertation exige la transparence.
Toutes les informations doivent être données aux partenaires de la concertation. Elles portent sur l'opportunité du projet, les options envisagées, les choix techniques et les sites susceptibles d'être concernés. Il convient d'indiquer, dès le début de la concertation, les étapes du processus décisionnel, afin que le public sache à quel moment et par qui les décisions sont prises. L'information est complète, accessible aux non spécialistes, permanente et contradictoire. Des possibilités d'expression sont mises à disposition des intéressés et, notamment, des associations. Il faut également que les documents qui ne font pas l'objet d'une large diffusion soient mis à disposition pour permettre une consultation et une utilisation efficace par les intéressés.

Article 5 - La participation favorise la concertation.
La concertation a, notamment pour objet :
- de favoriser le débat ;
- d'échanger les arguments et de rapprocher les points de vue ;
- de favoriser la cohésion sociale ;
- d'améliorer les projets ou de faire émerger de nouvelles propositions.

Le maître d'ouvrage énonce, tout d'abord, les alternatives et les variantes qu'il a lui-même étudiées et les raisons pour lesquelles il a rejeté certaines d'entre elles. Le maître d'ouvrage réserve un accueil favorable aux demandes d'études complémentaires, dès lors qu'elles posent des questions pertinentes, et s'engage, le cas échéant, à procéder à l'étude des solutions alternatives et des variantes.

Article 6 - La concertation s'organise autour des temps forts.
La concertation est un processus qui se poursuit jusqu'à la réalisation effective du projet et même au-delà si nécessaire. Il est souhaitable que les partenaires de la concertation se mettent d'accord sur un cheminement, marqué par des étapes ou des temps forts, chacun donnant lieu à un rapport intermédiaire.

1° phase - Examen de l'opportunité du projet :
- contexte global, enjeux socio-économiques ;
- options envisagées, choix technologiques, techniques, économiques ;
- conséquences prévisibles de l'opération sur l'environnement, sur l'économie et sur le mode de vie ;
- bilan coût avantage.

2° phase - Définition du projet :
- examen des variantes ;
- demandes d'études complémentaires ;
- recherche d'éventuelles mesures compensatoires et de garanties de fonctionnement.

3° phase - Réalisation du projet :
- mise au point du projet ;
- suivi de la réalisation ;
- suivi des engagements du maître d'ouvrage.

Article 7 - La concertation nécessite souvent la présence d'un garant.
Lorsque la présence d'un garant de la concertation se révèle opportune, sa désignation procède d'un consensus aussi large que possible. Le garant de la concertation est impartial et ne prend pas partie sur le fond du dossier. Il est désigné parmi des personnalités possédant des qualités intrinsèques : sens de l'intérêt général, éthique de l'indépendance, aptitude à la communication et à l'écoute. Il suit toutes les phases de la concertation et veille à la rédaction des rapports intermédiaires. Il rédige sa propre évaluation sur la manière dont la concertation a été menée.

Article 8 - La concertation est financée par le maître d'ouvrage.
Ce coût comprend l'éventuelle indemnisation du garant. Il inclut également les frais engendrés par la mise à disposition des études, l'organisation de réunions publiques, l'information, le financement d'éventuelles contre-expertises ou d'études de variantes.

Article 9 - La concertation fait l'objet de bilans.
Le rapport intermédiaire établi par le maître d'ouvrage à l'issue de la phase de définition du projet et le cas échéant, l'évaluation de la concertation établie par le garant de la concertation. Ce bilan est joint au dossier d'enquête publique, lorsqu'une telle enquête est prescrite. A l'issue de la phase de réalisation du projet, le maître d'ouvrage établit un bilan définitif qui fait l'objet d'une large diffusion.
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27 janvier 2008 7 27 /01 /janvier /2008 21:27

Noisy le Grand le 15 novembre 2007

 

URBANIA

Serge PETIT

12 Avenue Louis Blanc

94214 LA VARENNE ST HILAIRE Cedex

Objet : la situation à BRY BEAU SITE.

En réponse à :

 

Monsieur,

 

J’ai attiré votre attention sur mes relations avec votre collaborateur M WILLAERT responsable de votre agence du PERREUX sur Marne.

 

Vous connaissez certainement les difficultés, que nous avions avec notre précédent Syndic et ce n’est pas pour des raisons futiles, que nous avons mis un terme  à son mandat au cours d’une AG régulièrement tenue.

 

Les reproches, que je n’ai pas manqué de vous rappeler au cours de notre brève entrevue au salon de la copropriété, sont réels et sérieux ; à savoir M WILLAERT ne respectent pas ses engagements en particulier dans l’envoi d’un rapport mensuel par mail aux membres du conseil syndical, de répondre au téléphone ou bien au mail. M WILLAERT partait d’un bon sentiment puisqu’il nous avait confié son N° de téléphone portable. Le seul rapport, que nous ayons eu, est daté du 25 mai 2007. Je dois ajouter le rendez-vous manqué chez TRANSIM 93 le 21 juin 2007 sans avoir le moindre appel téléphonique.

 

L’or de notre rencontre vous m’avez confirmé que vous étiez au courant des manquements de votre collaborateur et de sa mythomanie. J’ai été très surpris de votre terme et j’espère que ce n’est pas l’effet salon, qui vous a soufflé ce qualificatif. Sans reprendre votre formulation, M WILLAERT serait capable de s’inventer des histoires, pour ma part, je me contenterai de dire qu’il est indifférent et par voie de conséquence méprisant. J’ai compris depuis quelques jours, qu’il est très habile pour jouer sur nos différences au sein du conseil syndical. C’est une manière de procéder mais je crains, qu’elle ne soit pas pérenne.

 

Auparavant, nous avions un syndic incompétent, absent, magouilleur, qui nous a mis dans une situation financière de vulnérabilité sérieuse et aujourd’hui, nous avons l’indifférent.

 

Il convient d’ajouter, que le devis SOPREN présenté par M WILLAERT afin de remplacer la femme de ménage  pendant 3 semaines au mois d’août 2007 n’a pas été négocié, puisqu’il était de 4760  € contre  1250 € par l’entreprise MOLA présentée par mes soins. Heureusement, une solution alternative a été mise en place sans que j’aie pu connaître son montant. Le procès verbal de l’AG du 22 mai a été envoyé par M WILLAERT le 23 juillet sans qu’il ait été signé par les membres du bureau. M SERRANO se plaignait de ne pas avoir eu son salaire le 9 octobre dernier, j’ai appelé vos services et aucune nouvelle à ce jour. J’espère, que depuis tout est rentré dans l’ordre. TRANSIM 93 m’a appelé il a quelques semaines pour me dire qu’ils recevaient des réclamations du GARP, c’est de bonne guerre, mais pourquoi ? M WILLAERT doit toujours me faxer les exigences de la Ville de Bry sur Marne à propos de la mise en place de bac de rétention des hydrocarbures véhiculés par les eaux pluviales. La location des parkings aux résidents n’est toujours pas réglée et TRANSIM 93 perçoit les loyers avec des baux libellés à son nom comme étant le propriétaire. C’est grave !

 

Votre collaboratrice Mme CALLEGARI a certainement un plus grand pouvoir d’écouter mais sans moyen ; comme elle dit : « je ne suis pas la gestionnaire, voyez M PETIT ».

 

M PETIT, vous m’avez laissé un message le 31 octobre sur mon portable et vous me disiez que vous alliez me rappeler. Le 9 novembre, je suis toujours sans nouvelle de votre part, je renouvelle mon appel à 9h, puis à 14h30 et toujours pas de nouvelle. Votre silence est consternant et il laisse une ouverture considérablement à toute négativité sur vos qualités humaines et professionnelles.

 

Veuillez agréer, Monsieur,  l’expression de mes sentiments très respectueux.

 

Michel BIHOUEE.

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27 janvier 2008 7 27 /01 /janvier /2008 17:41

Michel BIHOUEE a créé un blog pour la résidence « BEAU SITE »

 

Un blog, c’est quoi :

C’est un journal de bord publié à partir d’un site sur internet. Vous pourrez consulter les informations de la résidence ouvertes à tous : conseil syndical, le syndic, les copropriétaires et les locataires.

 

Pour quoi faire :

Vos commentaires, vos idées et vos critiques seront publiés. Vous pourrez partager vos connaissances, en bricolage, jardinage, le sport, la culture et pourquoi pas des recettes de cuisines etc.…

Organiser des randonnées, échanger vos connaissances en informatique,

Vous avez besoin d’un coup de main pour faire vos papiers peints ou pour dépanner un ordinateur ou encore garder vos enfants sans oublier vos animaux, enfin de multiples échanges selon votre passion.

Vous pourrez demander des conseils à des personnes averties dans des domaines aussi divers que l’assurance, la copropriété, le juridique etc.

 

Comment çà marche :

Le blog est simple à créer, mais il sera placé sous la responsabilité de son auteur qui servira de filtre. Il se chargera de publier vos textes, vos photos etc.

 

Ce blog sera est apolitique et areligieux.

 

Enfin, un blog n’a d’intérêt, que si, il est mis à jour et alimenté régulièrement, alors vous pouvez maintenant agiter la boîte à idées.

 

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